Un schéma classique prévoit, en nombre de repas : jusqu'au troisième mois du bébé : six tétées par jour toutes les trois heures et demie ; vers le quatrième mois : cinq tétées sont passées toutes les quatre heures, cinquième-sixième mois : quatre tétées. Pour comprendre combien un enfant devrait manger chaque jour, divisez le poids de l'enfant en grammes par 10 et ajoutez 250 au résultat.
Concernant les quantités : dans la première semaine de vie : on commence par 10 ml par repas, en augmentant la dose de 10 ml par jour, jusqu'au bout d'une semaine avec des repas avec 70-80 ml de lait ; premier mois : après la première semaine, en moyenne, 100 ml par repas sont maintenus ; deuxième mois : environ 110-120 ml par repas ; troisième et quatrième mois : environ 140-150 ml par repas ;cinquième et sixième mois : 200-250 ml par repas.
Des préparations sur demande : Est-ce possible ?
Ces dernières années, l'idée a fait son chemin que même dans le cas de l'alimentation au lait maternisé, tout comme dans l'allaitement car le bébé peut être nourri à la demande. Un guide des préparations pour nourrissons est disponible sur la plateforme spécialisée en lait infantile sur la base de documents du service de santé, du centre de documentation sur la santé périnatale et reproductive et dans toutes les maternités et hôpitaux français. Si l'enfant souffre de coliques, de régurgitations et de reflux, le pédiatre peut recommander une formule spécifique, sans lactose ou au contraire plus digeste. Le lait artificiel rend généralement le bébé un peu constipé. Pour cette raison, les épisodes fréquents de diarrhée ne doivent pas être ignorés et doivent être signalés au pédiatre. Les prix des préparations pour nourrissons peuvent varier considérablement en fonction principalement des choix de commercialisation des fabricants. Les formules enrichies peuvent coûter plus cher, mais cela ne signifie pas qu'elles sont plus saines et plus sûres que les marques moins annoncées qui produisent un lait qui - dans sa formule, est parfaitement conforme aux directives établies par le ministère de la Santé. Pour cette raison, le conseil n'est pas de dépenser tout de suite 30 euros pour un paquet de lait, mais de commencer par un lait moins réputé, moins cher mais qui répond parfaitement aux besoins nutritionnels du nouveau-né.